Aujourd’hui j’ai couru 12,6 Km (ce sont les 100 derniers mètres qui font toute la différence… ou les 100 premiers?) en 1 heure 20. J’avais prévu une longue sortie (là c’est gagné) tranquille (là c’est gagné aussi).

Et pour être un peu technique, au niveau du sucre, je m’en suis bien sortie. À partir d’une heure de course, j’ai l’impression que mes besoins en sucre doublent ou triplent, j’avais donc prévu la ration en conséquence (bien m’en a pris).

Au lever j’étais à 76, bien trop basse pour une course. J’ai donc mangé une banane et quelques bouts de chocolat au lait (pour me faire plaisir et pour les sucres lents, contrairement à ce que pensent tous les non-diabétiques).

Après deux heures, quand j’ai enfin pu enfiler mes baskets, j’étais à 167, ok. J’ai calculé avoir ingurgité environ au moins 60 g de glucides pendant cette heure et quart (ne pinaillons pas pour 5 minutes…), et étais au retour à 150. Pas de corrections donc, puisque le sucre continue à baisser quelques heures après le sport.

Conclusion : excellent calcul du sucre, excellente écoute du corps et bonne interprétation des signaux, des jambes pas trop lourdes (du moins jusqu’au dernier quart de course)… et donc : assez de sucre pour ravitailler la machine, ouf.

Je prévois un 10 km pour le 7 décembre, le Nikolauslauf, et essaie – pour l’instant infructueusement – de motiver mes copines du hand de se joindre à moi…

Bonne journée à vous!