5 petits conseils à l’égard des néodiabétiques ou comment apprendre à gérer sereinement son diabète
Publié le 28 Janvier 2017
- Tout d’abord se fermer à tous les propos concernant les type 2. Certes, ils sont malades, mais leur maladie, leurs régimes alimentaires, qu’ils suivent ou non et leur mode de vie qu’ils améliorent ou pas ne vous intéressent aucunement. Comme dirait subtilement l’élève à son professeur : ista non curo – mais je pique de l’insuline, haha.
- Détachez-vous de votre médecin, qui pourra quelque chose pour vous quand le pancréas artificiel sera vraiment lancé (article sciences et avenir - merci Papa). D’ici-là, faites-vous confiance, même si les sensations sont nouvelles. Essayez de vous fixer des objectifs glycémiques réalisables et où vous vous sentez bien.
- Pour mémoire : une glycémie entre 150 et 180 est idéale pour une activité sportive.
- Personnellement, j’aime bien avoir un sucre bas pour dormir (aux environs de 70)
- Dans la journée, j’aime tourner autour de 120, plutôt en-deçà.
Ne vous y méprenez pas : cela ne signifie pas que je suis toujours à ces niveaux-là ! Ce sont des objectifs.
- Si vous avez une activité inhabituelle, soyez vigilant et attentif à tout signal (fourmillement dans les doigts, sur la langue, sensation inhabituelle dans les jambes, si vous courez ou marchez, vision comme hâchée, dans les cas plus avancés, l’impression d’avoir des flashs noirs quand on cligne des yeux)
- Même si la tentation est grande, ne refusez pas de faire des choses à cause du diabète. Essayez d’être aussi actif que possible. Profitez de tout ce qui fonctionne dans votre corps !
- Ayez toujours sur vous sucre et insuline.
- Par exemple, toutes les poches gauches de mes manteaux, vestes, pantalons, sont collantes, parce que c’est toujours de ce côté que je mets du sucre. Comme ça je vois tout de suite si c’est vide ou non, et ça limite au moins le collage et les miettes et autres désagréments à une seule poche des vêtements. et en cas d’hypo, je n’ai pas besoin de farfouiller partout. Je veille toujours à ce qu’il y en ait dans mon sac, et ma famille en a aussi en général.
- Pour l’insuline, si je pars de chez moi pour plus de 4 heures, je prends un stylo ou mon kit-réservoir-cathéter-Eierpickser-insuline pour pouvoir recharger ma pompe. Au bureau, j’ai dans un tiroir un stylo plein et des aiguilles de rechange et un kit-réservoir-cathéter-Eierpickser-insuline pour le cas où ma pompe fasse défaut.
- Par exemple, toutes les poches gauches de mes manteaux, vestes, pantalons, sont collantes, parce que c’est toujours de ce côté que je mets du sucre. Comme ça je vois tout de suite si c’est vide ou non, et ça limite au moins le collage et les miettes et autres désagréments à une seule poche des vêtements. et en cas d’hypo, je n’ai pas besoin de farfouiller partout. Je veille toujours à ce qu’il y en ait dans mon sac, et ma famille en a aussi en général.
Surtout : faites-vous confiance. Vous apprendrez vite à évaluer au jugé et d’un coup d’œil le contenu en glucides et graisses d’une assiette : plus on expérimente, plus on apprend : mangez ce dont vous voulez, autant que vous le voulez et quand vous le souhaitez !
Bonne journée à vous!